1
ages, où irai-je avec peut-être un air de dégoût,
par mégarde
… On se presse au bar assourdissant et les visages se prennent à vivre
2
ages, où irai-je avec peut-être un air de dégoût,
par mégarde
… On se presse au bar assourdissant et les visages se prennent à vivre
3
l’affaire : cette perception soudaine, ce regard
par mégarde
sur un petit fait indifférent en soi, et qui n’est pas encore « arriv
4
seconde plus tôt ? Quel mouvement ai-je donc fait
par mégarde
, qui m’accorde à la longueur d’ondes d’un passé, d’un avenir toujours
5
sent partout en exil. À moins qu’il ne s’y prenne
par mégarde
, comme on le vit récemment en Illinois : des ouvriers montaient une m
6
sent partout en exil. À moins qu’il ne s’y prenne
par mégarde
, comme on le vit récemment en Illinois : des ouvriers montaient une m
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sent partout en exil. À moins qu’il ne s’y prenne
par mégarde
, comme on le vit récemment en Illinois : des ouvriers montaient une m
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ages, où irai-je avec peut-être un air de dégoût,
par mégarde
… On se presse au bar assourdissant et les visages se prennent à vivre
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l’affaire : cette perception soudaine, ce regard
par mégarde
sur un petit fait indifférent en soi, et qui n’est pas encore « arriv
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seconde plus tôt ? Quel mouvement ai-je donc fait
par mégarde
, qui m’accorde à la longueur d’ondes d’un passé, d’un avenir toujours
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l’affaire : cette perception soudaine, ce regard
par mégarde
sur un petit fait indifférent en soi, et qui n’est pas encore « arriv